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Publié le 14 sept. 2020 à 13:57Mis à jour le 14 sept. 2020 à 17:33

Régulateurs, banquiers et Etats le martèlent depuis le déclenchement de la crise sanitaire : le renforcement des fonds propres et des règles de liquidité imposées aux banques depuis dix ans ont contribué à passer le stress créé par la pandémie sans trop de dommages.

Or, dans le même temps, le secteur bancaire – Etats-Unis et Royaume-Uni en tête – a vu ses liens se renforcer avec d’autres acteurs de la finance, non bancaires, parfois très volumineux et pourtant beaucoup moins sévèrement régulés que les banques . Ce qu’on appelle le « shadow banking » dans le jargon, ou la finance de l’ombre.

Via : https://www.lesechos.fr